

Marc Brami
PSYCHOLOGUE & PSYCHOTHERAPEUTE
THERAPEUTE PSYCHO-CORPOREL
Adresse:
19, avenue Jean Jaurès
73000 Chambéry
Téléphone :
06 52 91 45 67
Email :
Crédit photo : le lac d'Aiguebelette au petit matin par Pascal Blachier (https://www.flickr.com/photos/pascal-blachier/5115117653)
et Marc Brami par Cécile Chambe
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Bonjour !
Je suis Marc Brami, j'exerce la psychothérapie (corporelle, comme le nom de mon site l'indique) à Chambéry. Ce site vous en dira un peu plus sur moi et sur mon approche thérapeutique.
Bonne lecture !
MON APPROCHE THERAPEUTIQUE
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La psychologie biodynamique
Le corps est au centre de ma pratique, quelle que soit l'approche spécifique que j'utilise. Même si aujourd'hui je m'appuie prioritairement sur les outils issus d'autres méthodes (voir les sections suivantes), dans la "philosophie" générale qui me guide je reste fidèle aux approches qui laissent au corps une place prépondérante.
Celle que j'ai longtemps pratiquée est la psychologie biodynamique, une de ces psychothérapies dites "corporelles" (on parle aussi parfois de « thérapie psycho-corporelle »), c’est-à-dire une psychothérapie basée sur la reconnaissance du lien profond entre le corps et le psychisme. Par conséquent le travail thérapeutique fait appel aussi bien à des techniques de psychothérapie verbale qu’à des outils spécifiquement corporels (comme le massage), ou à une combinaison des deux.
Elle a été créée à partir des années 50 par une psychologue et physiothérapeute norvégienne du nom de Gerda Boyesen (1922-2005). Les scandinaves étaient des pionniers du travail thérapeutique corporel (le fameux massage suédois, par exemple), et ils ont rapidement intégré les découvertes d'un psychanalyste autrichien, élève de Freud, Wilhelm Reich (1897-1957), qui avait compris les liens entre le corps et la psyché et l'intérêt de travailler directement sur le corps pour « guérir » la psyché. La psychologie biodynamique, avec d'autres, est ainsi considérée comme une thérapie "néo-Reichienne".
Il s’agissait de s’affranchir d’une différenciation corps-esprit quelque peu artificielle, et cette idée reste encore assez révolutionnaire, même si elle se répand heureusement de plus en plus. Par exemple, l’angoisse est autant un phénomène corporel que psychique : dans l’angoisse, on a la gorge qui se serre, on étouffe, on a la tête prise dans un étau… Et parallèlement, on identifie ces sensations comme relevant d'une peur plus ou moins diffuse, mais généralement sans comprendre de quoi on a peur. On peut traiter l’angoisse en se concentrant sur ses aspects psychiques, mais il sera souvent bien plus rapide et efficace de passer par le corps.
... et un de ses concepts fondamentaux : l’auto-régulation
Un des buts premiers de la psychologie biodynamique (mais on pourrait dire que cela devrait être un des buts à atteindre dans n'importe quelle thérapie, selon moi) est de rétablir la capacité d’auto-régulation de l’individu, c’est-à-dire sa capacité à revenir à son état de base après un stress. Cette capacité est ce qui nous permet de faire en sorte qu’un stress ne nous détruit pas : en général, nous nous en remettons (sinon, on parlera de « traumatisme »). Mais l’accumulation de stress, ou d’émotions non reconnues, ou non exprimées, peut rendre de plus en plus difficile le fait de revenir naturellement à notre état de base. Il s’agit de phénomènes de mieux en mieux connus et compris scientifiquement, et il est très clair que là aussi le corps a un rôle immense à jouer. Une émotion, par exemple, s’accompagne de pensées, mais elle n’est pas une pensée ; elle est avant tout un phénomène corporel. Quand la régulation est là, nous pouvons encaisser le stress, et dans la thérapie une bonne capacité de régulation permet de « digérer » les stress du passé, petits ou grands (donc aussi les « traumatismes »).
Pour de plus amples informations sur la psychologie biodynamique, voir les rubriques « liens » et « publications »
POUR QUI ?
La psychothérapie peut correspondre à des indications très différentes. Du « simple » mal-être au trouble plus profond (dépression, burn-out, anxiété/angoisse, deuil non résolu, etc.), il y a autant de raisons de consulter un thérapeute que de personnes qui consultent... On peut commencer une thérapie du fait d'une crise que l'on traverse, et ne chercher que la résolution de cette crise. On peut aussi ne vouloir que la résolution d'un symptôme ; et les symptômes que l'on peut traiter en thérapie peuvent être « clairement » psychiques, ou avoir une composante somatique évidente sans pour autant relever de la médecine (ce que seul, évidemment, un médecin pourra confirmer) : certains troubles du sommeil, de la digestion, sexuels, etc., par exemple, n'ont pas de cause organique identifiable, et le recours à un psychothérapeute se révèle souvent être la bonne solution.
On peut aussi venir voir un thérapeute à un moment où l'on va plutôt bien, pour explorer ses fonctionnements et essayer de faire évoluer ceux que l'on a identifiés comme problématiques - ceux qui, par exemple, provoquent invariablement des ruptures amoureuses ou des conflits avec l'entourage. Parfois aussi, on ne sait pas bien ce qui ne va pas : « objectivement » on ne voit pas de raison de se plaindre, mais la vie manque de saveur.
Les réponses d'une psychothérapie seront évidemment différentes dans tous ces cas. Mais dans tous ces cas aussi le fait d'axer le travail thérapeutique sur le corps peut être extrêmement adapté. Car avant tout, la manière dont « on se sent » est corporelle. Il ne s'agit donc pas tant de « régler des problèmes » à travers la thérapie, comme si l'on réparait une mécanique, que d'accéder à la « vérité du corps », et à travers elle, à celle de la psyché. Ce sont les mêmes !
LE BRAINSPOTTING
Aux outils de la psychologie biodynamique j'ai commencé à adjoindre de plus en plus régulièrement ceux issus d'une étonnante approche développée depuis 2003 par un talentueux clinicien new-yorkais du nom de David Grand, le Brainspotting. Il s'agit d'un dérivé de l'EMDR (ainsi que du Somatic Experiencing de Peter Levine), à la nuance près que, là où l'EMDR utilise des mouvements oculaires pour aider le cerveau (et le corps, d'après moi) au "retraitement" de l'information liée, par exemple, à un trauma, le Brainspotting se base sur des positions oculaires. David Grand a en effet constaté que, fréquemment, quand nous sommes activés émotionnellement au sujet d'une problématique, le niveau de cette activation dépend beaucoup de l'endroit dans l'espace vers lequel nous portons notre regard. En encourageant la personne à rester dans cette position, le processus thérapeutique autour de la problématique peut souvent s'enclencher, s'accélérer, se débloquer et/ou s'approfondir de manière très significative. Ou bien, quand ladite problématique submerge trop la personne, il est généralement possible d'identifier au contraire une position oculaire ressourçante, permettant ainsi un travail, également en profondeur, mais plus "en douceur".
L'EMOTIONAL TRANSFORMATION THERAPY (ETT)
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Constatant l'intérêt du Brainspotting, j'ai recherché les différentes thérapies travaillant autour des systèmes oculaire et oculomoteur. Et c'est ainsi que j'ai rencontré l'ETT, qui constitue aujourd'hui la méthode autour de laquelle j'organise prioritairement ma pratique (les autres outils venant en complément).
Il s'agit d'une méthode développée au cours des trente dernières années par le thérapeute américain Steven Vazquez ; plus exactement, il s'agit de quatre méthodes assez distinctes mais qui font toutes appel à l'"écologie visuelle", c'est-à-dire l'interaction entre un individu et les stimuli visuels qu'il reçoit de son environnement. En modifiant lesdits stimuli en fonction des réactions de la personne, on peut aider l'accès aux expériences qui pourront se révéler les plus thérapeutiques. Par exemple, on constate facilement dans la pratique de l'ETT qu'une émotion donnée sera perçue très différemment selon que la personne regarde une couleur ou une autre ; ou bien, en contrôlant soigneusement la direction depuis laquelle la lumière parvient aux yeux de la personne, on peut lui permettre d'accéder à des états psychiques ou émotionnels très distincts autour d'un même sujet souffrant. Il deviendra alors possible, à partir d'une problématique, de modifier la stimulation visuelle dans un sens qui favorise le travail thérapeutique (par exemple en soulageant une émotion trop envahissante, en diminuant rapidement le phénomène de dissociation qui ralentit souvent le travail thérapeutique, ou en favorisant l'émergence puis la résolution de mémoires liées à l'émotion en question, etc.).
L'ETT s'applique à la totalité des problématiques qu'abordent traditionnellement les psychothérapies, sans exception : trauma, addictions, troubles psychiques divers (dépression, anxiété, troubles de l'attention, pathologies psychosomatiques, etc.).
Je suis à ce jour le seul thérapeute en France à être certifié par Steven Vazquez pour la pratique de l'ETT, mais j'espère que de nombreux autres suivront, car cette approche est à la fois rapide, efficace et très profonde.
MEMI (Multichannel Eye Movement Integration)
Toujours dans le cadre de mes explorations autour du travail thérapeutique faisant appel aux systèmes visuel et oculomoteur, je suis désormais formé (et en cours de certification) à cette thérapie relativement nouvelle (officiellement elle a été introduite en 2019 par le Dr. Michael Deninger), mais qui en fait est une évolution d'une méthode bien plus ancienne, l'Eye Movement Integration (EMI, créée en 1989 par Steve et Connirae Andreas et qui avait été importée en France au début des années 2000 - sans vraiment y trouver le succès mérité - sous le nom d'Intégration par les Mouvements Oculaires, ou IMO). Cette méthode était elle-même inspirée des principes de la PNL (Programmation Neuro-Linguistique). MEMI est une sorte de "retour aux sources", dans la mesure où elle est une simplification de l'EMI, mais avec quelques ajouts émanant de la PNL et de l'hypnose Ericksonienne.
Elle se révèle être une méthode rapide et efficace pour "désactiver" des mémoires émotionnelles envahissantes, les mémoires traumatiques par exemple, ou celles qui ont occasionné des phobies. Elle est pour moi un complément intéressant à l'ETT ou au Brainspotting.
LE NEUROFEEDBACK
Les méthodes dont je parle ci-dessus (ETT, Brainspotting, MEMI) s'inscrivent toutes dans un développement (relativement) récent de la psychothérapie, dans lequel on essaye d'influencer le fonctionnement cérébral. Évidemment, toutes les thérapies ont une influence sur le fonctionnement cérébral, mais dans le cas de méthodes de ce type, c'est beaucoup plus explicite que dans le cas de méthodes plus classiques de thérapie "par la parole". Mais nous sommes encore là dans le champ de la psychothérapie. Il existe toutefois des méthodes qui travaillent de manière (presque) directe sur le cerveau. L'une d'elle est le neurofeedback. Dans le neurofeedback, on mesure (à l'aide d'électrodes placées sur le cuir chevelu du patient) l'activité cérébrale par électro-encéphalographie (EEG). Quand l'EEG présente les caractéristiques voulues, le patient reçoit un signal (qui tient lieu de "récompense" selon les principes du "conditionnement opérant", qui sont supposés sous-tendre l'action du neurofeedback). A mesure son cerveau produit de plus en plus l'activité recherchée, ce qui peut se révéler très thérapeutique.
Cette méthode a reçu de nombreuses validations, en particulier pour deux types de pathologies : l'épilepsie (les vrais débuts du neurofeedback viennent de là, à travers les travaux de Barry Sterman publiés en 1972) et le TDAH (trouble de l'attention). Mais le neurofeedback donne d'excellents résultats avec la dépression, l'anxiété, le stress post-traumatique, les troubles de l'apprentissage, etc.
Il existe de nombreuses approches en neurofeedback, celle qui a ma préférence et que j'utilise principalement est le neurofeedback ISF (pour "Infra-Slow Fluctuations", ou "fluctuations infra-lentes", émanant des travaux de Siegfried et Sue Othmer modifiés par Mark Llewellyn Smith). Dans l'ISF, pas de "récompense", le patient ne fait que recevoir une information concernant les variations d'amplitude d'une bande de très basses fréquences (typiquement entre 0 et 0,0062 Hz !). De lui-même, le cerveau produit à partir de ce retour des modifications qui touchent rapidement et profondément le fonctionnement du système nerveux autonome (qui s'auto-régule beaucoup mieux) et des réseaux cérébraux (réseau mode par défaut, réseau de saillance, etc., dont le fonctionnement et l'inter-relation sont souvent très perturbés dans différents troubles). Le neurofeedback en général, ISF en particulier, peut être un excellent complément à la psychothérapie, la faciliter, la permettre dans les cas où elle est difficile à mettre en œuvre, et peut même parfois se suffire à lui-même.
Sous une apparence ultra-technologique, le neurofeedback se révèle en réalité un soutien parfaitement "écologique" à tout ce que la thérapie veut apporter. Par "écologique", j'entends que le neurofeedback, loin d'être un gadget technologique prétendant réduire l'individu à ses neurones, peut aider la personne à se déployer dans tous ses aspects. Pour reprendre une expression de Moshe Perl, un des grands praticiens de la discipline, "la thérapie c'est 'parle-moi, et ça va calmer ton cerveau', le neurofeedback c'est 'on va calmer ton cerveau, et alors tu pourras me parler !'". C'est dans cette optique que j'utilise le neurofeedback, qui par conséquent s'intègre parfaitement au reste de ce que je fais, et qui concerne plus le corps, l'émotionnel, ou même la dimension spirituelle (qui est d'ailleurs loin d'être absente du monde du neurofeedback, ainsi qu'en attestent par exemple les apports de Jeff Tarrant et sa "neuroméditation" - à laquelle je suis également formé - ou l'Open-Focus de Les Fehmi et Susan Shor Fehmi).
Je suis en cours de certification auprès de la BCIA (Biofeedback Certification International Alliance, https://www.bcia.org/, l'organisme certificateur international pour le biofeedback en général, et le biofeedback EEG (l'autre nom du neurofeedback) entre autres.
QUI SUIS-JE ?
Initialement de formation technico-scientifique, je m’intéresse depuis plus de 25 ans à la psychologie. J’ai fini par faire de cet intérêt mon métier, d’abord à travers diverses formations, puis via un cursus universitaire pour devenir psychologue. D'un point de vue académique, je suis titulaire d'une maîtrise de psychologie clinique et pathologique, et d'un Master recherche en psychologie cognitive (Paris VIII/EPHE) - et du titre de psychologue, donc.
Après un parcours thérapeutique personnel conséquent, c’est à la fin de mes études universitaires que j’ai découvert la psychologie biodynamique, qui m’a semblé intégrer le meilleur des méthodes de thérapie qui m'intéressaient, et offrir des réponses supplémentaires qui lui sont assez uniques.
Plus spécifiquement, sa philosophie constitue pour moi une sorte de chaînon manquant entre les méthodes de thérapie (principalement par son insistance sur la notion d’auto-régulation, qui manque souvent, ou n’est pas explicite dans la plupart des autres méthodes). Je continue à travailler à partir de cette "philosophie" biodynamique même si je n'utilise plus que de manière marginale les outils spécifiques de la psychologie biodynamique.
Par la suite, j'ai commencé à me passionner pour les approches centrées sur le système visuel, qui me paraissent offrir des portes d'accès étonnantes à la psyché, et plus particulièrement l'ETT, le Brainspotting et MEMI.
Pour l'anecdote, je suis aussi musicien et écrivain, et m'intéresse de près, à ce titre, à la psychologie de la créativité et de l'expertise.
Je suis également référent sur les risques psycho-sociaux pour l’entreprise de formation ValeurSens (http://www.valeursens.com), et j’interviens dans ce cadre en entreprise.
PUBLICATIONS
Une de mes autres grandes passions est l'écriture. Je suis co-auteur avec Guillaume de Brébisson de l'ouvrage « Comprendre et pratiquer la psychologie biodynamique », publié aux éditions Interéditions (Dunod). En vente dans toutes les bonnes librairies !
Il n'y a à l'heure actuelle que deux autres livres en langue française sur le sujet (« Entre psyché et soma » de Gerda Boyesen, fondatrice de la psychologie biodynamique, et « La psychologie biodynamique, une thérapie qui donne la parole au corps » de François Lewin, fondateur de l'école française de PB, et Miriam Gablier).


J'ai également rédigé un chapitre pour l'ouvrage dirigé par Olivier Chambon et Jocelin Morisson, "La révolution psychédélique". Ce livre fait le point sur les dernières avancées dans le domaine de l'utilisation des substances dites "psychédéliques" en médecine et plus particulièrement en psychiatrie. Ces substances (le LSD, par exemple) ont longtemps été interdites dans le monde entier pour des risques parfois réels, souvent exagérés, mais toujours en oubliant leur potentiel thérapeutique extrêmement élevé.
Je suis l'auteur du chapitre consacré à la MDMA (plus connue, quand elle est utilisée comme "drogue" récréative, sous le nom d'Ecstasy), la première substance psychédélique à avoir été réhabilitée dans différents pays pour son utilisation thérapeutique (étant donné son effet très bénéfique et bien démontré dans les cas de traumatismes psychiques).
LIENS
(quelques sites amis... en cliquant sur leurs icônes vous pourrez leur rendre une petite visite)
L'APPB (Association Professionnelle de Psychologie Biodynamique) regroupe les praticiens en Psychologie Biodynamique. J'en suis membre (et ai siégé plusieurs années à son CA). C'est la plus grande association française liée à la psychothérapie corporelle.
L'école de psychologie biodynamique française. Fondée en 1985 par Christiane et François Lewin, élèves directs de Gerda Boyesen, elle a formé depuis des centaines de thérapeutes (dont votre serviteur !).
La FF2P (fédération française de psychothérapie et psychanalyse), qui fédère de nombreux organismes de formation et associations professionnelles de praticiens de la psychothérapie). Les deux précédents organismes en sont membres...
... tout comme elles sont membres de l'EABP, qui fédère au niveau européen les organismes de formation et associations professionnelles de praticiens de psychothérapie corporelle spécifiquement.
Le site de l'ETT (Steven Vazquez)
ValeurSens, l'entreprise de formation avec laquelle j'interviens en entreprise sur la question de la prévention des risques psycho-sociaux (http://www.valeursens.com).